08/05/2013 En Belgique, le cas d’un enfant atteint d’une maladie rare suscite la polémique Jean-Pierre Stroobants Le Monde
Un petit garçon de 7 ans, Viktor Ameys, pourra continuer à vivre grâce à un médicament très coûteux susceptible de soigner la maladie rare dont il souffre. Depuis plusieurs jours, le cas de l’enfant avait suscité beaucoup d’attention en Belgique parce qu’il posait la question éthique des limites éventuelles du remboursement par la Sécurité sociale – son traitement coûte 18 000 euros par mois – et des choix à opérer par le monde politique en période de rigueur. Au fil du temps, l’affaire a aussi illustré l’attitude de certaines firmes pharmaceutiques : celle qui fabrique le médicament de Viktor n’a pas hésité à médiatiser le cas du jeune garçon afin d’exercer une pression maximale sur la ministre de la santé.
… Le dossier est toutefois jugé exemplaire pour d’autres raisons. « En laissant la quasi-totalité de la recherche médicale au secteur privé, les gouvernements se sont mis en situation de devoir accepter de payer le prix demandé ou de paraître refuser un soin », déplore par exemple, dans le journal Le Soir, Michel Roland, professeur de médecine générale à l’Université libre de Bruxelles.
La suite sur Le Monde (édition abonnés) http://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2013/05/08/en-belgique-le-cas-d-un-enfant-atteint-d-une-maladie-rare-suscite-la-polemique_3173409_3214.html?xtmc=belgique&xtcr=3
06/05/2013 – « Un très grand nombre d’examens sont inutiles », selon le Pr Didier Sicard, du Comité national d’éthique – Brigitte Bègue, Journaliste – VIVA
« Sur- et sous-médicalisation, surdiagnostics, surtraitements », c’était le thème d’un colloque organisé les 3 et 4 mai par le groupe Princeps qui rassemble des professionnels de la santé, le département de médecine générale de la faculté de médecine de Bobigny, la Société de formation à la thérapeutique du généraliste. Lire la suite sur le site de VIVA…
The Globe and Mail 22 février 2012 Ben Goldacre and big pharma’s big betrayal
It takes only three words to sum up the key message of Ben Goldacre’s new book,Bad Pharma: Missing data kills.
Consumer Report Mars 2013 The cancer tests you need- and those you don’t
As our understanding of cancer changes, doctors and patients are learning that screening tests can sometimes do more harm than good
…“The medical and public-health community has systematically exaggerated the benefits of screening for years and downplayed the harms,” says H. Gilbert Welch, M.D., a professor of medicine at the Dartmouth Institute for Health Policy and Clinical Practice in Lebanon, N.H. …
AFP 22 février 2013 La chirurgie de l’obésité: un essor qui reste à maîtriser
… L’étude de l’Assurance maladie révèle d’importantes disparités régionales avec des taux d’intervention qui varie d’un facteur de 1 à 3 en métropole. On compte ainsi 2 interventions pour 10.000 habitants en Auvergne contre 6 pour 10 000 en région Provence-Alpes-Côte d’Azur et Languedoc Roussillon. Des taux qui ne reflètent pas la fréquence de l’obésité comme en « région Paca qui a la prévalence d’obésité la plus faible », pointe le Pr Allemand. …
PLOS MEDICINE Published: September 27, 2011
Cardiovascular risk with non-steroidal anti-inflammatoire drugs: systematic review of population-based controlled observational studies
Randomised trials have highlighted the cardiovascular risks of non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) in high doses and sometimes atypical settings. Here, we provide estimates of the comparative risks with individual NSAIDs at typical doses in community settings.
This review suggests that among widely used NSAIDs, naproxen and low-dose ibuprofen are least likely to increase cardiovascular risk. Diclofenac in doses available without prescription elevates risk. The data for etoricoxib were sparse, but in pair-wise comparisons this drug had a significantly higher RR than naproxen or ibuprofen. Indomethacin is an older, rather toxic drug, and the evidence on cardiovascular risk casts doubt on its continued clinical use.